top of page

ÉTUDE ALIMALTERNATIVES 2024-2025

etude AlimAlternatives image.jpg

Le rééquilibrage entre protéines animales et protéines végétales (et/ou nouvelles sources de protéines) apparaît de plus en plus comme une nécessité, imposée aussi bien par des impératifs écologiques que par des considérations de santé publique. C’est la condition pour parvenir à nourrir le monde demain, avec 9,7 milliards d’habitants attendus en 2050.

Depuis une dizaine années, les enquêtes auprès des consommateurs montrent une aspiration à réduire la consommation de viande, et la part de ceux qui se déclarent « flexitariens » ne cesse d’augmenter. Mais comment évolue réellement la part des différents régimes (végétariens, pescétariens, végétaliens, végans…) ? Quelles sont les caractéristiques socio-démographiques des personnes qui les adoptent, leurs motivations, les facteurs déclencheurs ? Comment les politiques influencent les comportements alimentaires, par quels leviers ? Quel est le rôle joué dans la végétalisation par la grande distribution, la restauration collective ? Cette tendance se traduit-elle par une baisse de la consommation de produits animaux ?

Si des alternatives aux produits animaux doivent être trouvées, quelles sont les plus prometteuses ? Les plus réalistes, qui imitent au plus près la texture et le goût de la viande, du fromage ou des œufs, voire qui reproduisent à l’identique leur composition nutritionnelle grâce à la fermentation de précision ou à l’agriculture cellulaire ? Ou bien de nouvelles catégories de produits, fabriqués à partir de mycoprotéines (issues du mycelium des champignon), d’insectes, d’algues ou de micro-algues ? Quels sont les avantages et les limites de chaque alternative, son bilan environnemental comparé aux autres ? Quel est leur potentiel de production, à quelle hauteur s’élèvent les investissements nécessaires ?

Parallèlement à l’essor des protéines alternatives, le secteur de l’élevage, interpellé par la société, ne reste pas inactif. Des progrès sont réalisés en termes de bien-être animal, d’impact sur l’environnement, et bien d’autres sont encore à venir. Jusqu’où l’élevage pourra-t-il réduire ses émissions de gaz à effet de serre ? Pourra-t-il stopper la déforestation ? Les consommateurs sont-ils prêts à acheter de la viande porteuse d’un label de bien-être animal ? Quelles pistes sont étudiées pour réduire les problèmes de santé humaine causés par la viande, notamment le risque de maladies cardio-vasculaires ou les cancers colorectaux ?

L’étude AlimAlternatives 2024-2025 (350 p.) répond à toutes ces questions. Elle propose un panorama très documenté, basé sur les recherches scientifiques et les données les plus récentes, à l’échelle internationale. Elle présente des prévisions et des scénarios prospectifs et permet de réfléchir aux évolutions futures, tant de l’élevage que du secteur des protéines végétales et des autres sources de protéines, dans une dimension systémique.

Télécharger la plaquette détaillée

Pour me contacter : claisney@alimavenir.com

bottom of page